Nous débarquons à Kangourou Island vers midi. 250 km d'est en Ouest, au moins 70 du Nord au Sud. Quelques routes goudronnées, la plupart de voies de circulation restent des pistes en terre pleine de nid-de-poules et fréquemment inondées par les averses régulières de l'hiver austral.

Nous trouvons à loger à Kingscote en plein champ, dans des cabines équipées (une chambre avec cuisine et une petite salle de bain). Le soir, hormis quelques oiseaux, nos seuls voisins sont les kangourous et les wallabies. Nous allons pouvoir nous faire à manger pendant quelques jours, sans dépendre des méga portions xxl des restos australiens.

Le premier soir, nous assistons à l'attraction principale de Kingscote : les pélicans. Un habitant de l'île vient nourrir une colonie de pélicans tous les jours à 17h. La moitié de la colonie en question est composée de mouettes, qui loin d'être stupides, ont bien compris qu'il y avait là de quoi faire un festin.
Enfin bref, ce type raconte des trucs pendant 10 minutes, pendant que les pélicans et les mouettes tournent dans le ciel et essaient de se garder la meilleure place sur la jetée. Puis quand l'animateur commence à sortir les poissons, c'est la curée..... Assez impressionnant à voir.. Que ça soit le pélican qui s'est goinfré de poissons à ne pas pouvoir les avaler ou la grande bataille dans l'eau entre mouettes & pélicans.

Sur l'île, il faut d'abord rouler 100 km avant de pouvoir commencer la moindre visite. Le principal intérêt de Kangourou Island réside dans son isolement de l'île pendant des siècles.

Cela a favorisé le développement d'espèces endémiques, que les touristes viennent admirer dans les parcs nationaux ou dans des parcs privés...

C'est le guide touristique qui le dit, car je ne vois pas trop la différence entre ces kangourous et ceux qu'on avait vu à Philips Island.

Quoiqu'il en soit, après un rapide tour sur la côte nord de l'île, notre principale occupation va être la visite des deux principaux parcs nationaux : Flinders Chase & la Baie aux Phoques.

A Flinders Chase, nous commençons par aller voir les admirables rochers. Très surprenant, on dirait qu'ils ont été déposés là par une grue, juste pour les touristes.

Puis nous filons au Cap de Couedic (ça sonne breton) pour regarder une colonie de Phoques à fourrures néo-zélandais. Pendant l'été en Nouvelle Zélande, ils migrent sur les côtes australiennes pendant l'hiver. Tout le groupe est en train de lézarder au soleil sur les rochers. Nous n'en voyons que quelques uns dans l'eau.. Je les comprends, elle doit être froide. Nous sommes quasiment au point le plus au sud de l'île, la terre suivante est l'Antarctique... brrrr !!!!

Nous profitons du parc pour faire quelques randonnées (1h de marche max par rando, ça va pas nous fatiguer). Nous n'arriverons jamais à la fin de celle des Platypus.

Le chemin est inondé. Nous ne verrons donc pas ce drôle d'animal, dont nous ne savons pas trop ou il faut le chercher.


Mais pendant cette ballade, nous avons tout loisir d'observer des kangourous, des espèces d'oies grises qui poussent un cri roque, ainsi qu'un Echidnas, une sorte de gros hérisson...

A la baie aux Phoques, nous profitons d'une accalmie dans les averses pour admirer de prêt des lions de mer en compagnie d'un guide du parc.

Les lions de mer viennent dormir dans les dunes après quelques jours de pêche en mer. Un bébé phoque est même monté sur l'estrade. Nous pouvons les approcher à quelques mètres.


Au bout de 5 jours, nous quittons notre île tranquille pour reprendre la route direction les Grampians. Cette montagne à 3h de Melbourne va nous permettre de randonner un peu avant de retourner en ville.
Nous trouvons à loger à Kingscote en plein champ, dans des cabines équipées (une chambre avec cuisine et une petite salle de bain). Le soir, hormis quelques oiseaux, nos seuls voisins sont les kangourous et les wallabies. Nous allons pouvoir nous faire à manger pendant quelques jours, sans dépendre des méga portions xxl des restos australiens.
Le premier soir, nous assistons à l'attraction principale de Kingscote : les pélicans. Un habitant de l'île vient nourrir une colonie de pélicans tous les jours à 17h. La moitié de la colonie en question est composée de mouettes, qui loin d'être stupides, ont bien compris qu'il y avait là de quoi faire un festin.
Enfin bref, ce type raconte des trucs pendant 10 minutes, pendant que les pélicans et les mouettes tournent dans le ciel et essaient de se garder la meilleure place sur la jetée. Puis quand l'animateur commence à sortir les poissons, c'est la curée..... Assez impressionnant à voir.. Que ça soit le pélican qui s'est goinfré de poissons à ne pas pouvoir les avaler ou la grande bataille dans l'eau entre mouettes & pélicans.
Sur l'île, il faut d'abord rouler 100 km avant de pouvoir commencer la moindre visite. Le principal intérêt de Kangourou Island réside dans son isolement de l'île pendant des siècles.
Cela a favorisé le développement d'espèces endémiques, que les touristes viennent admirer dans les parcs nationaux ou dans des parcs privés...
C'est le guide touristique qui le dit, car je ne vois pas trop la différence entre ces kangourous et ceux qu'on avait vu à Philips Island.
Quoiqu'il en soit, après un rapide tour sur la côte nord de l'île, notre principale occupation va être la visite des deux principaux parcs nationaux : Flinders Chase & la Baie aux Phoques.
A Flinders Chase, nous commençons par aller voir les admirables rochers. Très surprenant, on dirait qu'ils ont été déposés là par une grue, juste pour les touristes.
Puis nous filons au Cap de Couedic (ça sonne breton) pour regarder une colonie de Phoques à fourrures néo-zélandais. Pendant l'été en Nouvelle Zélande, ils migrent sur les côtes australiennes pendant l'hiver. Tout le groupe est en train de lézarder au soleil sur les rochers. Nous n'en voyons que quelques uns dans l'eau.. Je les comprends, elle doit être froide. Nous sommes quasiment au point le plus au sud de l'île, la terre suivante est l'Antarctique... brrrr !!!!
Nous profitons du parc pour faire quelques randonnées (1h de marche max par rando, ça va pas nous fatiguer). Nous n'arriverons jamais à la fin de celle des Platypus.
Le chemin est inondé. Nous ne verrons donc pas ce drôle d'animal, dont nous ne savons pas trop ou il faut le chercher.
Mais pendant cette ballade, nous avons tout loisir d'observer des kangourous, des espèces d'oies grises qui poussent un cri roque, ainsi qu'un Echidnas, une sorte de gros hérisson...
A la baie aux Phoques, nous profitons d'une accalmie dans les averses pour admirer de prêt des lions de mer en compagnie d'un guide du parc.
Les lions de mer viennent dormir dans les dunes après quelques jours de pêche en mer. Un bébé phoque est même monté sur l'estrade. Nous pouvons les approcher à quelques mètres.
Au bout de 5 jours, nous quittons notre île tranquille pour reprendre la route direction les Grampians. Cette montagne à 3h de Melbourne va nous permettre de randonner un peu avant de retourner en ville.
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