Après une première nuit animée (due non pas à un américain péteur, non pas à un australien ronfleur mais à un sud africain buveur !!!), nous avons déambulé dans les différents quartiers du centre ville.
Le Micro Centro, ses banques et ses fourgons blindés de transport de fonds à chaque coin de rue, la Plaza de Mayo et el Congreso avec ses manifs de vétérans de la guerre des Malouines, San Telmo et ses rues pavées sans bus polluants,
le quartier des théâtres et el téatro Colon, Puerto Madero et ses docks rénovés en restaurant hors de prix (nos shorts et tongs ne semblaient pas adaptées aux immenses verres à pieds sur les tables), Palermo et ses uniques parcs de la ville (avec ses chats et ses moustiques), un petit tour au musée à la mémoire d’Eva Péron.
Buenos Aires est une immense capitale avec un mélange de style colonial et d’architecture d’après guerre.
De très nombreux bus polluants rendent la ville très bruyante. Le métro est d’une autre époque (certaines rames ont encore un intérieur en bois et des portes mécaniques). Cette ville nous rappelle nos déambulations dans Santiago du Chili, il y a quelques années.
Après 2 jours sous le soleil de Buenos Aires (et un gros orage comparable à une douche froide…toute habillée),
nous avons hâte de prendre le bus de nuit en direction de Mendoza, notre 1ere halte dans la Cordillère des Andes. Là bas, nous devons trouver le moyen d’aller vers le parc de l’Aconcagua commencer notre premier trek. Grands espaces et montagnes nous manquent.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire